Notre engagement en vidéos

Quatre mois après l'explosion qui a fait plus de 200 morts et 6 500 blessés, la détresse psychologique des habitants de Beyrouth est encore vive.

Au Kenya, MdM a mis en place un programme de Réduction des risques (RdR) auprès des usagers de drogues en s’inspirant d’un projet similaire mené en Tanzanie, dans le cadre d’une stratégie régionale d’intervention sur le thème de la RdR.

Le 3 novembre 2020, l’administration civile israélienne s’est introduite dans la communauté bédouine de Khirbet Humsah, située au nord de la vallée du Jourdain en Cisjordanie, et a démoli dix-huit tentes et abris dans lesquels vivaient onze familles, soit un total de 74 personnes dont 41 mineurs laissées sans abris, et cela alors que l’hiver commence et que la pandémie est toujours en cours.

Depuis 20 ans, Médecins du Monde constate à travers ses différents programmes en France (59 en 2019) que l’accès aux droits et aux soins n’est pas effectif, voire se dégrade.

En France, malgré une politique de Réduction des Risques développée depuis plus de 20 ans et une chute drastique des contaminations au VIH, des personnes meurent encore d'overdoses.

21 décembre, à l’heure où s’intensifie une demande de Justice sociale, près de 1500 personnes vivent à la rue dans la proche périphérie parisienne. Médecins du monde lance alors un appel…

Le Liban fait face à un afflux énorme de réfugiés. C’est une problématique majeure pour les associations humanitaires présentes dans la région. Plus de 5,5 millions de Syriens, hommes, femmes et enfants, ont fui la guerre civile qui, depuis 2011, fait rage dans leur pays.

Les politiques d’expulsions à répétition que les autorités mènent depuis des années en Guyane ont de graves conséquences pour les personnes vivant dans les quartiers d’habitat spontané de Cayenne.

Les trois hôpitaux du territoire – les centres hospitaliers de Cayenne, Kourou et l’ouest guyanais - déjà mobilisés pour des patients victimes de la Leptospirose ou de la dengue, ont déclenché leurs plans blancs.

Le conflit au Yémen se poursuit et menace toujours la vie de millions de personnes. Il a provoqué une grave crise économique, l’affaiblissement critique des institutions étatiques qui n’ont plus de ressources financières, et une grave détérioration de l’insécurité alimentaire et nutritionnelle. Découvrez l'interview de notre cheffe de mission au Yémen.

Politiques de refoulement, négations des droits, pressions policières et nouveaux murs...
En Amérique centrale et au Mexique, les stratégies de contrôle de l'immigration viennent directement mettre en danger la vie, la santé et les droits des personnes migrantes et déplacées.

Médecins du Monde mène actuellement un programme de protection des personnes migrantes au Honduras, au Salvador, au Guatemala et au Mexique.
Un travail de terrain alliant actions médicales et plaidoyer politique, pour œuvrer avec nos partenaires locaux pour le respect des droits et de la santé de ces personnes.

Chaque année, des centaines de milliers de personnes le franchissent, fuyant la violence et la misère, pour tenter de rejoindre le Nord. Mais beaucoup se retrouvent bloquées à la frontière sud du Mexique, dans la ville de Tapachula. Active au Mexique et en Amérique centrale depuis plus de 20 ans, Médecins du Monde y développe depuis 2016 un programme régional pour défendre l'accès aux droits et aux soins des personnes migrantes et déplacées.

Face au violence de l'exil, certains publics sont particulièrement vulnérables.

Toutes deux réfugiées au Mexique avec leurs enfants, isolées et sans ressources, Isabel et Lydia confient leurs conditions d'arrivée et les choix qu'elles ont dû faire pour survivre.

Aujourd’hui, la pauvreté concerne plus de 3 millions de personnes en France, soit 14,3 % de la population. Depuis 2008, la part des personnes en situation de précarité ne cesse d’augmenter et les inégalités sociales de santé de s’accentuer.